Pour un flacon de mercure

Publié le par Grand Beau et Riche Pays

samedi 8 septembre 2007  http://congoreading.blogspot.com/2007/09/pour-un-flacon-de-mercure.html

SOMMAIRE
Un flacon de mercure au Bandundu
La Gécamines finance la révisitation et doit se prononcer sur Camec
La vie à Kamoto après Camec
Comme Camec, la justice frappe
Africo

Un flacon de mercure au Bandundu

Le Soft Un réseau mafieux opérait depuis de longs mois - l’homme au centre est Achille Kimbuta, un proche du IIème VIPI de l’Assemblée nat. L’échange de courrier entre Kimbuta et un certain Guechi, joueur de football à Pay-Kongila très lié à Samy Ndombe, permet de penser qu’un véritable trésor est planqué au laboratoire de l’hôpital de Pay-Kongila (du courrier venant du fameux Kimbuta adressé à Guechi saisi par l’administration de l’hôpital de Pay-Kongila parle de dames-jeannes à remplir de mercure), et que seuls des initiés semblaient connaître. Le développement de cette affaire révèle l’existence d’un réseau avec d’insoupçonnées ramifications. http://www.congoforum.org/fr/nieuws.asp?actualiteit=selected et http://www.lesoftonline.net/pages/phil.php?id=1083

LaProspérité  http://www.laprosperiteonline.net/affichage_article.php?id=2623&rubrique=La%20Une l’honorable Marc Mvwama Anedu, deuxième Vice-Président de l’Assemblée Nationale, a réagi contre les affirmations du journal Le Soft. Le colis emporté de Pay n’ est pas du mercure, mais du biochromate de potassium comme c’est inscrit sur le flacon. Et d’ajouter que ce produit constitue du poison. Il s’est rendu à Pay Kongila non pas pour aller chercher le mercure, mais pour accomplir son devoir d’Etat en tant que député et, en l’occurrence, prendre connaissance de problèmes auxquels est confrontée la population de cette contrée... C’est par hasard qu’un habitant de Payi Kongila va l’informer de l’existence du mercure dans un laboratoire de cet hôpital. Ce produit, affirme l’informateur de Mvwama, a été caché par un expatrié belge depuis la fin de la colonisation. Ce Belge ayant vieilli et ne pouvant plus venir à Pay Kongila, envoie, de temps en temps, ses fils pour le prendre petit à petit jusqu’il soit vidé. Trois de ses enfants étaient récemment ici, rapporte l’informateur de Mvwama

La Gécamines finance la révisitation et doit se prononcer sur Camec

LePhare http://www.congoforum.be/fr/nieuwsdetail.asp?subitem=1&newsid=33607&Actualiteit=selected INTÉRESSÉ par la qualité du travail abattu par les membres de la Commission dépêchés au Katanga, Hubert Tshiswaka a voulu savoir quelle a été la source de financement du groupe d'experts gouvernementaux qui se sont rendus au Katanga. A sa grande surprise, il a appris du direcab que c'est la Gécamines qui a pré-financé l'opération. Donc, les experts ont été pris en charge par la compagnie accusée d'avoir signé plusieurs contrats miniers qui ne prennent pas en compte l'intérêt même de l'entreprise. Et l'on se pose la question de savoir si la qualité du travail à abattre par les experts gouvernementaux dans cette partie du pays ne risque pas d'avoir un caractère douteux, lorsqu'on sait que la main qui reçoit est toujours en dessous de celle qui donne ? Le groupe des experts de la société civile a aussi constaté une disproportion importante entre les capitaux propres investis par le partenaire dans les projets et les dividendes exigées étant donné que les projets sont totalement financés par des emprunts. Le directeur du Cepas a recommandé la révision des joint-ventures dont les opérations ont déjà commencé en se basant notamment sur la valeur des gisements, sans oublier de tenir compte des rapports réels de chaque partie en numéraire ou en nature dans la participation au capital de nouvelles sociétés. « Les joint-ventures dont les travaux n'ont pas encore commencé, doivent être annulés », a-t-il conseillé.


En attendant le recours en annulation transmis auprès du chef de l’Etat par les avocats de Boss Mining et Munkondo Mining, c’est peut-être au terme du Conseil d’administration de la Gecamines que l’on aura une idée exacte du partenariat dans lequel la Gecamines se trouve associé dans Boss Mining en raison de 20% contre 80 pour Camec, alors que Munkondo Mining est une société à actionnariat égal entre Boss Mining et KMC. L’affaire a été suscitée par une récente correspondance du Procureur général de la République au directeur général du Cadastre minier ; correspondance par lequel l’organe de la loi sollicitait, pour certaines irrégularités, du Cadastre minier l’annulation des titres attribués à Boss Mining et Munkondo Mining.

La vie à Kamoto après Camec

(Marketwire) The Board of Katanga Mining Limited notes that Central Africa Mining and Exploration plc ("CAMEC") has withdrawn its unsolicited offer for the Company. Subsequently, Katanga has been advised by George Forrest that, as a result of the withdrawal of CAMEC's offer, he has been fully released from his lock-up agreement with CAMEC. "Given the significant uncertainty surrounding CAMEC and its operations, we are not surprised by this development," noted Arthur Ditto, Chairman, President and CEO of Katanga. "Katanga is free to continue to develop its Kamoto project and to investigate strategic options to maximize value for Katanga shareholders." As a consequence of CAMEC's offer being withdrawn, the Board will no longer be issuing a Directors' Circular as previously advised.

MiningJournal George Forrest, the Congolese investor who owns a 24% stake in Katanga, was released from his commitment to support Central African`s bid, Katanga said in a statement. The company plans to borrow all of the money it needs to finance the project. Katanga will focus on concluding a loan agreement by the middle of next month for the US$150 million needed to complete the mine`s development, chief executive officer Arthur H Ditto said. Some companies invited to conduct due diligence on Katanga`s assets will continue their study, he said. “There`s work in progress now," Ditto said by telephone from Toronto, where Katanga is based. “Some of that must run its course and some will fall away.” Ditto said on August 23 he was courting rivals, seeking to attract a higher bid. CAMEC withdrew its all-stock offer, which valued Katanga at C$1.5 billion (US$1.42 billion), after Congo`s government revoked the company`s main mining permit. London-based CAMEC had sought to create the world`s largest cobalt producer, with annual output of 12,000 t of the metal and 250,000 t of copper.

Comme Camec, la justice frappe Africo

Mineweb Africo Resources will not go down without a fight in the DRC, as it battles to get back its rich copper/cobalt asset in Katanga. http://www.mineweb.net/mineweb/view/mineweb/en/page66?oid=26709&sn=Detail

MiningWeekly Matthew Hill Africo Resources said “third parties” were trying to steal its assets in the Democratic Republic of Congo (DRC) through the “systematic misuse of the judicial system”. This was after it learnt in April that another firm, Akam Mining, had acquired its 75% interest in the Kalukundi copper/cobalt project at a sale in execution, without Africo receiving any notice. Akam had received court acceptance of the transaction. The sale in execution followed a Lumbumbashi court order that the firm pay $3-million in damages to an employee, whose contract was not renewed.

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article