Quelques lectures ordinaires
Le prix de la paix
NyotaTV Suite à la pétition pour une réunion extraordinaire de l' Assemblée Nationale, Gabriel Kyungu a intimé aux députés nationaux du Katanga de retirer leurs signatures dans les 48 heures, sinon il leur sera interdit de séjourner au Katanga. A ce propos, Moise Katumbi a déclaré que " ceux qui s' opposent à la présence des troupes rwandaises sont " des sorciers !..Je soutiens la candidature du président Joseph Kabila pour les échéances de 2011.. Tout katangais autre que Joseph Kabila qui sera candidat aux élections présidentielles de 2011 est un " fumeur de chanvre"
24.07.2009 A.P. The United Nations Refugee Agency said Friday that 536,000 people had been chased from their homes in eastern Congo this year as a result of clashes between government forces and Hutu rebels linked to Rwanda’s 1994 genocide. The agency spokesman, Ron Redmond, said in Geneva that 35,000 others have been uprooted since July 12, when the government embarked on its latest military campaign. He said there were widespread reports of killing, rape and torture by the rebels. In all, 1.8 million people have been displaced by years of violence and instability in eastern Congo.
27.07.2009 RadioOkapi et AFP Les autorités congolaises ont mis fin au contrat de la RFI accusée de diffuser des informations qui troublent le processus de paix dans l’Est de la RDC. RFI indique qu' elle avait rapporté " une conférence de presse de la MONUC.... sans commentaire particulier". RFI avait déjà été muselée à Bunia et à Bukavu pour "raisons de sécurité nationale".
Le 24.09.2009, des ONG qui décriaient la "dérive autoritaire" du régime. La censure de RFI concerne les émissions FM ( 6 relais et 27 stations locales). Mais la couverture RFI se poursuit sur les ondes courtes, téléphone mobile, Internet,les bouquets satellites (Horizons, Réunion,DSTV, Worldspace), etc http://www.rfi.fr/radiofr/statiques/capterrfi.asp
Chicotte et gifles
A Kinshasa, le Potentiel signalait que la police fouette publiquement les chauffards pris en flagrant délit de contravention. Cela dans la capitale! Les chauffeurs de transport en commun de Kinshasa ont fait grève contre le recours au gourdin par les nouveaux éléments de la police de circulation routière communément appelés les "robots".
A Bukavu, BaLeki a rapporté que deux policiers ont arrêté une femme qui a piétiné le goudron frais pour traverser une route en construction. Elle a supplié: « munihurumie, sikujuwa » Traduisez : « pardonnez moi, je ne savais pas que c’était interdit de passer dessus… » L’infortunée a été relâchée, après quelques gifles..
Offenses au # 1
03 novembre 2007 LePotentiel A l’occasion de la rentrée judiciaire, par le Procureur Général de la République (PGR), M. Tshimanga Mukeba met l' accent sur " L'offense envers le Chef de l'Etat". Cela se réalise dans toute expression outrageante par paroles, faits, gestes ou menaces, tout terme de mépris ou toute invective, renfermant ou non l'imputation d'un fait précis, proférée publiquement à l'endroit du Chef de l'Etat avec l'intention de l'offenser. Par son action, l'auteur de cette incrimination blesse le Chef de l'Etat dans sa dignité et dans son honneur.
A Kinshasa, le Potentiel signalait que la police fouette publiquement les chauffards pris en flagrant délit de contravention. Cela dans la capitale! Les chauffeurs de transport en commun de Kinshasa ont fait grève contre le recours au gourdin par les nouveaux éléments de la police de circulation routière communément appelés les "robots".
A Bukavu, BaLeki a rapporté que deux policiers ont arrêté une femme qui a piétiné le goudron frais pour traverser une route en construction. Elle a supplié: « munihurumie, sikujuwa » Traduisez : « pardonnez moi, je ne savais pas que c’était interdit de passer dessus… » L’infortunée a été relâchée, après quelques gifles..
Offenses au # 1
03 novembre 2007 LePotentiel A l’occasion de la rentrée judiciaire, par le Procureur Général de la République (PGR), M. Tshimanga Mukeba met l' accent sur " L'offense envers le Chef de l'Etat". Cela se réalise dans toute expression outrageante par paroles, faits, gestes ou menaces, tout terme de mépris ou toute invective, renfermant ou non l'imputation d'un fait précis, proférée publiquement à l'endroit du Chef de l'Etat avec l'intention de l'offenser. Par son action, l'auteur de cette incrimination blesse le Chef de l'Etat dans sa dignité et dans son honneur.
A Lubumbashi, Joseph Kapepula a été arrêté, torturé, déporté et jugé pour avoir déclaré à des grévistes que « le chef de l’Etat donne des jeeps et de l’argent aux joueurs qui ont couru pendant 90 minutes au lieu de s’occuper de la situation à la SNCC ». Selon l' Asadho Le Parquet s’était basé que sur un procès verbal d’information de l’Officier de Policier Judiciaire de la SNCC qui a parle d' offense au Chef de l' Etat. " Arrêté puis emprisonné par l'ANR, il y sera sérieusement torturé durant toute la nuit du 16 au 17 mars 2009 : immobilisé dans un pneu, fouetté sur tout le corps, même mordu au ventre, branché à une prise électrique sous tension, ses organes génitaux pressés par les agents de l’ANR, ce qui a sensiblement détérioré son état de santé et l’a amené à vomir et uriner du sang, puis à s’évanouir.
Joseph Kapepula a été acquitté.
Joseph Kapepula a été acquitté.
Selon RadioOkapi, le président du Mouvement des démocrates congolais, MDCO, a été libéré après 10 mois et 15 jours de prison, pour offense au chef de l’Etat. Mais cette infraction n’existe plus parce qu’elle était du domaine de la cour de sûreté de l' Etat, qui a été dissoute.